Ce soir j’ai du temps, je suis seul ce sera ce soir. Enfin j’ai rassemblé matériel pour cette séance dont je rêve depuis longtemps.. mais il reste pas mal de taf pour installer le matos et comprendre comment marche cette horloge et l’électroaimant …réaliser les branchements etc…

Bon il n’y a pas de raison… je décide d’abord de m’occuper de moi et de préparer mon corps dès maintenant. Donc une bonne douche, j’installe ma boucle lestée sur mes couilles pour commencer à montrer ma soumission au vice ! Et comme cela ne suffit pas je décide de mettre la ceinture avec les picots sur les tétons. C’est un supplice dingue car quand je ne bouge pas cela ne fait rien, mais tous les mouvements des bras et du buste entrainent des douleurs d’intensités variables. Je vais déguster c’est sûr…

Bon me voilà descendre à la cave chercher de quoi faire les branchements, rassembler le matériel pour la séance.. Chaque marche montée descendue me rappelle le lest et tous les mouvements de bras et de buste laisse échapper un cri . Il est temps de me nourrir un peu car je me sens flancher dans mes certitudes… Une bonne dose de vin avec le pâté, et voilà la motivation revient en flèche. Pendant ce temps je me repasse le scenario dans la tête pour être sûr de n’avoir rien oublié.

Voila l’organisation

Un grand lit avec au bout une grande barre coincée entre les murs de la pièce (un étai en fait). Coincée entre le lit et le matelas des sangles prévues pour fixer bras et chevilles.

En dessous de l’étai une chaise escabeau (pratique pour poser les poids).

Je me mets un plug maintenu par une ceinture adaptée. Je remplace la boucle lestée par le parachute sur les couilles pratique pour les étirer.

Je commence à installer les poids au bout de la première corde avec 2 kg cela devrait tirer assez fort. L’autre corde reçoit un poids de 500 gr. Les poids sont posés sur la plus haute marche de mon petit escabeau. L’autre bout de la corde arrive jusqu’au centre du lit à côté des pinces japonaises pour les tétons du masque, des accessoires prévus.

Je m’installe sur le lit et attache mes chevilles écartées au maximum. Je vérifie que je vais pouvoir m’allonger et attacher mes poignets plus tard. Je prépare ceux-ci avec les menottes en cuir. Sur un poignet j’équipe une attache rapide, sur l’autre la partie mobile de l’électro aimant qui attend solidement fixé à la tête du lit.

Je reviens pour commencer la séance. Je règle l’horloge qui alimente l’électro-aimant sur une heure.

Je fixe la première corde avec les poids de 2 kg au bout sur le parachute. Le réglage est un peu compliqué pour avoir assez de tension pour tirer les poids juste ce qui faut pour les faire tomber de leur marche par un simple mouvement de hanche.

J’enlève la ceinture avec les picots de mes tétons, qui commencent à bien chauffer. J’accroche les deux pinces sur les tétons reliées par une petite chaîne. Au centre de la chaîne un anneau vient recevoir la seconde corde avec les poids de 500 g au bout. La séance commence à me plaire et l’excitation monte.

Je m’allonge, vérifie le réglage des deux cordes. Je mets ma cagoule et j’hésite pour le bâillon… pour une première fois on va être raisonnable !

Je m’attache la main gauche avec l’attache prévue. En se contorsionnant on y arrive, les pinces des tétons travaillent durs… la main droite va pouvoir terminer l’ouvrage…. Je respire un grand coup et me bloque avec l’electroaimant…

Je n’ai aucune idée du temps que j’ai pris et donc du temps qui va rester….

IL ne reste plus qu’a faire un petit mouvement du bassin et les poids attachés aux couilles tombent entrainant un cri non étouffé de ma part…. mais j’ai pas le temps de souffler car les premiers poids entrainent le second tendant la corde des pinces qui se serre sur mes tétons déjà bien meurtris…

Oh que je me maudis n’avoir pas de tout fait un essai à blanc… Tant pis pour moi… Bon la sensation d’être immobilisé par soit même entraine quand même une forme de jouissance nouvelle inconnue jusqu’alors. Les maitresses pro qui m’avaient attaché n’avaient pas procuré un tel frisson…

Personne ne pourra me délivrer…. Je n’ai plus qu’à attendre que l’horloge veuille bien couper le courant et libérer l’electro aimant.

En attendant la compression sur mes balles commence à les chauffer fort, l’excitation de la préparation partie au moment de la chute des poids commence à revenir…. J’essaye de bouger un peu pour libérer les tétons… le seul résultat et d’augmenter un peu plus la douleur… bon je n’ai plus qu’a attendre sagement… Je fantasme un peu en me disant que si mon plug avait été vibrant cela aurait encore ajouter un peu d’excitation… je continue à fantasmer et imaginant aussi une machine puisse venir m’infliger des coup de martinet sur le bas ventre.. plus je fantasme, plus je bande. Mais je n’arrive pas jusqu’à la jouissance…. L’attente se prolonge

Je n’ose envisager ce qui se passera si l’électro aimant ne s’arrête pas !

Quand il s’arrête je me précipite pour libérer mes couilles et me soulager…. J’enlève les pinces et la douleur affreuse qui en résulte provoque une jouissance bien méritée..

J’ai une envie folle de recommencer….